« L’auteur prend le conscrit à son départ du village et le conduit au jour de sa libération.
Toutes les scènes de ce recueil sont prises dans la cavalerie. Randon était un dessinateur
très médiocre. Ses chevaux sont encore plus mal dessinés que ses hommes et ceux-ci
sont trop souvent ivrognes et débraillés. Ses légendes sont, en général, assez vulgaires,
sauf celles qui accompagnent son
École du Cavalier
: quelques-unes des caricatures de ce recueil sont prises sur le vif, bien observées
et vraiment amusantes. »
Mennessier de La Lance (1915-1921)