Ripart, Jacqueline (1956 – n. c.)

« Née à Paris en 1956, Jacqueline Ripart s’est tout d’abord passionnée pour la musique : Prix du Conservatoire national de musique d’Aix-en-Provence (1974), licence de musicologie d la faculté des Lettres d’Aix-en-Provence (1977), master en électro-acoustique, professeur de piano et concertiste (1977-1979). Sa passion pour le cheval lui vient dès l’âge de 10 ans : compétition de dressage et saut d’obstacles, championnat de France (1974), monitrice d’équitation (1968-1975), création de la compagnie de tourisme Cheval nomade (1986), diplôme de guide de tourisme équestre de la FFE, voyages à cheval en France et à l’étranger. Riche de ses deux passions, la musique et l’équitation, partout où elle décide d’explorer le monde du cheval, elle fréquente le monde du spectacle, du cinéma et de la télévision : sonorisatrice de concerts et ballets (1979-1983), ingénieur du son pour France 3, France 2, RFO et diverses sociétés de production de courts-métrages et documentaires (1982-1989). En 1985, elle se lance dans le journalisme et l’audio-visuel : réalisation de films documentaires et grands reportages en Europe, Afrique, Amérique du Sud, Asie. En 1991, elle découvre, dans le désert du Namib, des chevaux qui vivent à l’état sauvage depuis la débâcle allemande de 1914, qu’elle va étudier durant 5 ans : étude scientifique, publication de nombreux articles de presse et plusieurs livres. C’est ensuite en Colombie qu’elle pose de nouveau son sac, pour 2 ans : réalisation de nombreux articles de presse et publication de plusieurs livres. En 2001, elle aborde la terre des premiers cavaliers de l’Histoire : l’Asie centrale. La disparition du cheval et de la culture équestre des nomades kirghiz la pousse à créer à Bichkek, en 2004, la fondation Kyrgyz Ate, qu’elle dirige depuis lors. En 2006, elle étend son action aux Kirghiz du Pamir en Chine, en Turquie puis au Tadjikistan (région de Murghab, Gorno-Badakhshan) où elle développe actuellement les activités de sa fondation. » Présentation de l’éditeur (2018)