William Day, Le cheval de course à l’entraînement, traduit de l’anglais par le vicomte de Hédouville. Paris, 1881.
Comte de La Gondie, Le Cheval et son cavalier. Paris, 1884.
Vallon, Cours d'hippologie à l'usage de MM. les officiers de l'armée, 3e édition, Paris, 1880, tome 1.
Sanson, Traité de zootechnie. Paris, 1878, t. III.
Commission d’hygiène hippique, Cours abrégé d'hippologie, Paris, 1875.

Chapitre XIV
Des aptitudes

On entend par aptitude d’un cheval la réunion des qualités qui le rendent propre à tel ou tel service.

La plupart des auteurs, se basant sur ce fait que le cheval porte ou tire, ont divisé l’espèce chevaline, sous le rapport du service, en deux grandes catégories : l’une renfermant les chevaux de selle, l’autre comprenant les chevaux de trait.

Cette division, juste en elle-même, a le tort de confondre certaines aptitudes qu’il est utile de distinguer. C’est pourquoi nous préférons celle adoptée par MM. Goubaux et Barrier, qui distinguent des chevaux p. 225de course, des chevaux de guerre, des chevaux de luxe, et des chevaux d’industrie et de commerce.

I. — Chevaux de course

On peut subdiviser les chevaux de course en chevaux de course plate, en chevaux de steeple-chase, et en trotteurs de course.

A. — Cheval de course plate

Destiné à parcourir monté une piste sans obstacle, avec la plus grande vitesse possible, le cheval de course plate doit de toute nécessité avoir une taille élevée (1m, 55 à 1m, 65). Aussi, le grandit-on tous les jours pour augmenter l’amplitude de ses enjambées. Mais l’élongation des leviers osseux ne pouvant malheureusement se faire qu’aux dépens de leur force de résistance, le cheval de course actuel, quoique plus vite en général que l’ancien, est beaucoup moins capable de supporter une longue course et une forte charge que ce dernier. C’est ce qui résulte des observations recueillies par les hommes spéciaux.

« Pour les courses ou pour servir d’étalons, dit William Day, nous préférons un cheval moyen de 1m, 57 environ...

« Un vraiment bon grand cheval sera meilleur qu’un bon petit cheval ; mais, en règle générale, vous aurez cinquante petits chevaux bons pour un seul de grande taille. Bay Middleton et Élis étaient de grands chevaux ; ils n’ont rien fait comme reproducteurs. Venison, qui était un poney, a brillé sur les hippodromes et au haras ; son fils Joë Miller également, et bien d’autres.

« Sur une petite distance, il se peut qu’un grand cheval en batte un petit ; mais un petit cheval vraiment bon battra toujours le grand sur une longue distance...

« Camerine était peut-être la meilleure jument pour 6 000 mètres qui ait jamais existé, et Touchstone le meilleur cheval. La jument, après avoir gagné une course de 6 000 mètres sur le Bacon Course, a traversé la ville et a été jusque sur les collines de Bury sans qu’on puisse l’arrêter. Cependant, aucun des deux chevaux n’avait plus de 1m, 50. et Venison avait encore moins.

p. 226« Les petits chevaux sont décidément les meilleurs. Joë Miller a fait des chevaux extraordinaires aussi, a toujours battu les grands chevaux, et, après une carrière fort longue, il a été envoyé au haras aussi sain que le jour de sa naissance. Pour citer des exemples contraires, il faudrait feuilleter avec bien du soin les annales du turf ; nous ne connaissons guère que Rataplan et Fisherman, en fait de grands chevaux, qui aient couru longtemps et bien... »1

Voici, après tout, les principaux caractères que doit présenter le cheval de course plate : Encolure droite et longue ; épaule, croupe, cuisse, fesse, jambe, avant-bras également longs ; ligne du dessus bien soutenue ; poitrine haute, sans trop d’ampleur ; garrot élevé ; articulations larges ; tendons forts et écartés des canons ; ventre peu développé ; peau, poils et crins fins ; physionomie expressive2.

Le cheval de course plate est toujours de pur sang. Il est inscrit, soit au Stud-Book anglais, soit au Stud-Book français.

B. — Cheval de steeple-chase

Là encore le cheval est monté et toujours mené au galop rapide ; mais on a placé sur le trajet de la piste un certain nombre d’obstacles artificiels, que l’animal doit franchir avant d’atteindre le but.

La conformation du cheval de steeple-chase ne diffère guère de celle du cheval de course plate. Pour les courses d’obstacles on recherche aussi une grande taille, une poitrine haute, beaucoup de garrot, etc. ; mais ce qu’on demande avant tout, c’est une forte musculature de l’arrière-main, particulièrement de la croupe, un grand développement des articulations, surtout des jarrets, et de beaux aplombs des membres antérieurs.

Le dressage fait le reste.

Actuellement, le cheval de steeple-chase est presque toujours de pur sang.

p. 227

C. — Trotteurs

Les trotteurs sont destinés à courir au trot sur l’hippodrome, attelés et montés ; d’où la division de ces chevaux en trotteurs d’attelage et en trotteurs de selle.

Leur taille doit varier entre 1m, 50 et 1m, 65. Les reins, la croupe, les cuisses, les fesses, les jambes et les jarrets doivent être puissants.

On recherche également une poitrine haute et profonde ; une encolure, des épaules et des avant-bras longs ; des articulations larges et nettes3.

Plusieurs pays fournissent des trotteurs renommés ; tels la Russie, l’Angleterre, la France et les États-Unis. Les trotteurs anglais nous arrivent du Norfolk et du Yorkshire ; ceux de Russie se font au haras d’Orloff ; quant aux français, ils nous viennent, en général, de la Normandie, plus rarement des Ardennes.

II. — Chevaux de luxe

Les chevaux que nous rangeons dans cette catégorie se montent ou s’attellent. On peut les diviser en chevaux d’attelage et en chevaux de selle ; mais nous devons faire remarquer que cette division n’est pas absolue, beaucoup de chevaux de luxe pouvant être indistinctement montés ou attelés.

A. — Chevaux d'attelage

Encore appelés carrossiers, les chevaux d’attelage se subdivisent en grands et en petits carrossiers.

Les grands carrossiers s’attellent presque toujours en paire et ont, en général, une taille qui varie entre 1m, 60 et 1m, 70. On doit les choisir avec une belle conformation et des allures brillantes.

Malheureusement, leur valeur intrinsèque passe souvent en seconde ligne ; car on suppose qu’ils ont toujours assez de fond pour résister au service peu pénible qu’on exige d’eux.

« Si on consacre ces beaux animaux à un service de distances, p. 228dit M. de Lagondie4, leur poids, leur vigueur et leurs allures relevées ont bientôt brisé sur le pavé leurs pieds élégants, et il faut recourir, souvent trop tard, aux chevaux de service, qui doivent faire le travail de nuit, les excursions à la campagne, etc. » Aussi est-il sage, ajoute l’auteur précité, de réserver les carrossiers « pour les promenades des parcs ou du bois de Boulogne, ou tout au plus pour le stationnement devant les magasins du boulevard ».

Les petits carrossiers, encore appelés chevaux de phaéton, s’attellent seuls ou en paire ; ils ont une taille qui oscille entre 1m, 55 et 1m, 62. Comme les précédents, on doit les rechercher élégants avec des allures brillantes ; mais, leur travail étant d’ordinaire plus pénible, il est indispensable qu’ils soient plus gros, plus doublés.

Les grands et les petits carrossiers les plus estimés nous viennent d’Angleterre ou de Normandie. La Hollande, le Hanovre et le Mecklembourg en fournissent aussi quelques-uns ; mais ils passent bien après les premiers.

Ce sont, en général, des métis plus ou moins près du pur sang.

B. — Chevaux de selle

Parmi les chevaux de selle, on distingue le hack, le cob, le cheval de chasse, le double poney et le poney, qui doivent présenter les qualités générales suivantes : tête fine ; encolure longue, souple ; garrot élevé ; dos et reins droits, courts ; pieds bons ; aplombs réguliers.

Le hack est le plus brillant, le plus estimé de tous. Sa taille varie entre 1m, 55 et 1m, 62. Il doit être bien proportionné, léger, vigoureux et excessivement souple dans ses mouvements.

Les beaux hacks sont de pur sang anglais, ou viennent du haras de Trakehnen, dans la Prusse Orientale ; d’où le nom de trakens, sous lequel on désigne quelquefois ces derniers. La Normandie et le Wurtemberg en fournissent également d’assez estimés.

M. de Lagondie5 distingue des hacks de promenade et des hacks de route. « Les premiers, dit-il, n’ont besoin que de belles formes avec des allures voyantes ; tandis que l’on choisit un cheval de voyage pour ses qualités utiles. »

p. 229Le cob peut être utilisé à la fois comme cheval de selle et comme cheval d’attelage. Sa taille oscille entre 1m, 50 et 1m, 60, en France tout au moins, car en Angleterre il est beaucoup plus petit.

Ce cheval doit être près de terre, bien membré, large de poitrine, et en même temps élégant avec de belles allures. Les beaux cobs viennent d’Angleterre et d’Irlande. La France en fournit aussi quelques-uns.

Le cheval de chasse, connu sous le nom de hunter en Angleterre, a une taille qui varie entre 1m, 55 et 1m, 62. Il doit présenter un dessus bien soutenu, des membres convenablement charpentés et bien d’aplomb, une poitrine très descendue, de l’énergie, du fond et de la vitesse. Il lui faut en même temps un bon dressage.

Les meilleurs chevaux de chasse sont des métis anglais ou irlandais.

Le double poney est solidement charpenté, mais plus petit, moins fin et moins rapide que le cob. On le rencontre un peu partout.

Le poney est encore plus petit ; il a la tête camuse, le corps près de terre, bien musclé, les membres fins, et les crins très longs.

Il est, en général, l’apanage des pays pauvres et montagneux.

III. — Chevaux de guerre

Les chevaux de guerre peuvent être divisés en chevaux de selle et en chevaux de trait.

A. — Chevaux de selle

Ces chevaux doivent être robustes avant tout, avoir la tête petite, l’encolure longue, le garrot élevé, le dos et les reins droits, courts, larges, la poitrine ample, les articulations très développées, les aplombs réguliers, les pieds bons, les yeux absolument sains.

À ces qualités, le cheval de selle doit joindre la vigueur, la légèreté d’allures, la souplesse, en même temps qu’assez de patience pour ne pas trop s’effrayer pendant le feu, et exécuter, sans faire une dépense de force inutile, les mouvements désordonnés auxquels la cavalerie est quelquefois obligée d’avoir recours dans les circonstances difficiles.

« Il est bon, dit Vallon6, que le cheval de cavalerie ait de la noblessep. 230 et de la distinction ; mais il ne doit pas avoir trop de sang ni surtout être trop irritable.... »

La célèbre charge des lanciers anglais à Balaklava fournit, à cet égard, un enseignement très précis. La perte à peu près complète du beau régiment britannique, qui fut le résultat de cette charge funeste, ne peut, en effet, être attribuée qu’à l’énergie excessive, qu’au caractère trop irritable de ses chevaux qui, une fois lancés sur les rangs ennemis, ne purent être ramenés en temps opportun par les cavaliers.

Le cheval de cavalerie doit donc être, en somme, vigoureux, robuste, facile à conduire, n’en déplaise à ceux qui soutiennent que la vitesse doit être maintenant sa première, sa principale, sa seule vraie qualité, comme si une fée quelconque devait dorénavant transporter, d’un coup de sa baguette magique, la cavalerie sur le lieu du combat, comme si les étapes forcées, les privations, les intempéries ne devaient pas être, aussi bien que jadis, les plus redoutables ennemis de nos chevaux.

D’après la taille, le développement des formes, les chevaux de selle sont classés en chevaux de réserve (cuirassiers), de ligne (dragons), et de cavalerie légère (hussards et chasseurs).

Dans chacune de ces catégories on distingue le cheval de tête ou d’officier et le cheval de troupe.

Le cheval d’officier doit nécessairement avoir des formes plus distinguées, des allures plus rapides ; mais, comme pour le cheval de troupe, il faut que ces qualitées soient alliées à la force, à la rusticité et à la docilité ; car, « dans les manœuvres, l’officier qui monterait un cheval trop ardent, trop irritable, aurait trop à s’occuper de sa monture et ne pourrait apporter assez d’attention aux ordres qu’il doit donner ou exécuter »7.

« On ne doit classer tête, dit M. le capitaine Rivet8, que le cheval qui en est réellement digne, et ne pas se laisser prendre à des apparences de distinction qui n’ont pas derrière elles un fond de solidité : il arriverait souvent, en agissant ainsi, qu’on achèterait des chevaux d’officiers ayant moins de qualités sérieuses que les chevaux de troupe.... »

La taille varie suivant les armes ; elle est de 1m, 54 à 1m, 60 pour p. 231la cavalerie de réserve, de 1m, 50 à 1m, 54 pour la cavalerie de ligne, et de 1m, 48 à 1m, 50 pour la cavalerie légère.

Les principaux centres de production des chevaux de cavalerie sont, en France, la Normandie, la Bretagne, le Limousin, le Bigorre, la Vendée et le Morvan ; en Afrique, l’Algérie et la Tunisie.

Quand il s’agit du moteur en mode de vitesse, que celui-ci soit un cheval de luxe ou un cheval de guerre, il est une donnée qu’on doit toujours prendre en considération : c’est la légèreté de la masse.

« Au-delà d’un certain poids, les chevaux que l’on fait mouvoir à l’allure du trot ne sont plus utilisables, puisqu’à cette allure la force dont ils disposent suffit tout juste pour les transporter eux-mêmes... Aussi, n’y a-t-il point lieu de s’étonner que jamais la grosse cavalerie française n’ait pu résister aux fatigues d’une campagne tant soit peu prolongée, et que, même en garnison, sa mortalité soit de 50, 57 sur 1000 d’effectif, tandis que celle de la cavalerie légère n’est que de 23, 339.

« La conclusion à tirer de là, pour le cas particulier, c’est que la cavalerie de réserve, si tant est qu’elle soit utile aux armées, ce sur quoi nous n’avons pas à nous prononcer ici, devrait être remontée en chevaux d’un poids qui ne dépasserait pas 500 kilogrammes... Plus les chevaux de selle sont petits et légers, plus leur travail disponible est proportionnellement grand. La cavalerie légère d’Afrique nous en donne depuis longtemps la preuve pratique. Les cavaliers, chasseurs ou spahis, ne pèsent pas moins en moyenne que les dragons. Bon nombre d’entre eux pèsent autant que les cuirassiers. Dans toutes les campagnes auxquelles ils ont pris part avec les dragons et les cuirassiers, en Crimée, en Italie et en France, les chevaux de chasseurs ont toujours mieux résisté que les autres aux fatigues de la guerre, tout en faisant un service plus long et plus pénible...

« On a donc bien tort, dans le choix des chevaux de guerre, de ne pas abaisser le minimum de taille exigé maintenant jusqu’à la limite de ce qui est nécessaire pour que le cavalier puisse tenir à cheval, dût-on élever son assiette par un artifice comme celui dont se servent les Arabes, les Cosaques, les Hongrois, etc. La cavalerie de ces peuples a toujours été la plus mobile, la plus résistante, la plus infatigable de p. 232toutes, précisément parce qu’elle est composée de très petits chevaux »10.

« Jamais, écrit d’autre part un officier de cavalerie d’une compétence indiscutable, la pesanteur des grands chevaux ne leur permettra de suivre les petits dans leurs mouvements rapides, et si l’on tentait de le faire, ce serait en quelques jours leur destruction totale11 »

Ces opinions corroborent de tous points celle de William Day, que nous avons rapportée à propos des chevaux de course.

B. — Chevaux de trait

« Appelés à exécuter, dans certaines circonstances, des mouvements rapides au trot et au galop, les chevaux de trait devront joindre à la force une certaine légèreté ; la charpente osseuse sera solide, l’appareil musculaire bien développé, le corps court et souple, les membres doués d’articulations larges, les pieds irréprochables12. »

Ces chevaux sont destinés à l’artillerie et au train.

Leur taille oscille entre 1m, 48 et 1m, 54.

Ils n’ont guère de centres de production spéciaux.

IV. — Chevaux d'industrie et de commerce

On comprend dans cette catégorie de chevaux ceux qui ne sont employés ni par le luxe ni par l’armée. Ils peuvent être divisés en chevaux de gros trait lent, de gros trait rapide, et de trait léger.

Les chevaux de gros trait lent sont ceux qu’on attelle aux grosses charrettes, aux tombereaux, aux gros camions, etc. Ils doivent être massifs, près de terre, fortement musclés, avoir des membres solides, l’épaule peu oblique et de bons pieds. On les recherche surtout entiers, parce qu’on les trouve plus vigoureux.

La taille de ces chevaux varie entre 1m, 60 et 1m, 75.

Leurs principaux centres de provenance sont : en France, le Boulonnais, le Perche, la Beauce, les Ardennes, la Picardie ; en Belgique, le Brabant ; en Angleterre, le Suffolk et le Norfolk.

Les chevaux de gros trait rapide sont surtout utilisés pour le service des brasseurs, des messageries et des omnibus. Ils doivent être moins p. 233massifs, plus hauts de membres et plus rapides d’allures que les précédents. Leur taille est de 1m, 60 à 1m, 65. On les trouve surtout dans le Perche, la Beauce et la Normandie ; mais les percherons sont de beaucoup, et à juste raison, les plus estimés.

Les chevaux de trait léger, dont le vrai type était autrefois le postier, sont utilisés aux voitures de commerce, aux tapissières, aux voitures de place, etc. Ils doivent être assez étoffés, bien membrés, avec un beau dessus et des allures allongées.

Leur taille oscille entre 1m, 50 et 1m, 65.

Ils n’ont pas de centres de production spéciaux, mais ils nous viennent le plus ordinairement de la Normandie, de la Bretagne, du Centre et du Midi de la France. Beaucoup sont aussi fournis par l’étranger ; l’Irlande, par exemple, en possède de magnifiques, que nous avons admirés aux cabs de Londres.

1

William Day, Le Cheval de course à l’entraînement, traduit de l’anglais par le vicomte de Hédouville. Paris, 1881, pp. 111 et 112.  

2

Ces chevaux ne devant généralement pas porter des poids énormes, il est bon de faire remarquer que, chez eux, la longueur du dos doit être considérée comme une beauté, cette conformation favorisant la vitesse (Voy. IIe partie, Dos).

3

Là encore, nous préférons la ligne dorso-lombaire un peu longue.

4

Comte de Lagondie, Le cheval et son cavalier, Paris, 1884, p. 516.

5

Id., loc. cit., p. 409.

6

Vallon, loc. cit., p. 605  .

7

Vallon, loc. cit., p. 605  .

8

A. Rivet, Guide pratique de l’acheteur de chevaux. Caen, 1877, pp. 19 et suivantes.

9

Il y a lieu de noter que ces chiffres ne sont plus tout à fait exacts aujourd’hui ; car les pertes, dans la grosse cavalerie, ne dépassent guère actuellement 30 à 35 pour 1000, tandis que dans la cavalerie légère (chevaux français) elles oscillent entre 20 et 25.

10

A. Sanson, loc. cit., pp. 330 et suivantes.

11

Journal des sciences militaires, Examen critique des opérations de la cavalerie, avril 1881.

12

Commission d’hygiène hippique, loc. cit., p. 134  .