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École de Cavalerie — 1733 / LA GUÉRINIÈRE François ROBICHON DE, 1733 | |||||||||||
École de Cavalerie. Contenant la Connoissance, l’Instruction et la Conservation du
Cheval. Avec figures en taille-douce. Par M. de la Guérinière, Écuyer du Roy.
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LA GUÉRINIÈRE François ROBICHON DE
et
PARROCEL Charles
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Français |
« (Les planches) [...] représentant des cavaliers montés sont des portraits avec le nom du modèle, parmi lesquels se trouve celui du Comte de Saint Aignan , élève de la Guérinière, auquel, ainsi qu’on l’a vu ci-dessus, il avait dédié la 1 re édition in-16 de son École de cavalerie . Peut-être les autres portraits représentent-ils aussi des élèves de son académie; la jeunesse des personnages le laisse supposer.
L’édition in-f° de l’
École de cavalerie
est un des plus beaux ouvrages qui aient paru en France sur le Cheval. Papier, caractères,
tout est irréprochable et les belles planches de Parrocel lui donnent une valeur particulière.
Cette édition in-f° a été de nouveau publiée 18 ans plus tard. J’en donne la description
avant de commencer celle des editions in-8° qui sont cependant antérieures à cette
dernière.
[…]L’extérieur, le dressage et l’équitation sont l’œuvre personnelle de La Guérinière.
Certains principes d’extérieur sont bons à retenir, mais c’est comme écuyer que l’auteur
a fondé sa gloire durable et méritée d’être appelé le "Père de l’Équitation française".
»
Mennessier de La Lance (1915-1921)
« C’est une sorte d’encyclopédie hippique contenant tout ce qu’un homme de cheval doit connaître. Profitant des modifications déjà introduites par d’habiles écuyers aux préceptes de l’École franco-italienne, il fit une école plus distinctement française, sans rien emprunter cependant à la méthode germanique ou anglaise. Son enseignement s’applique surtout à l’équitation de manège et même à l’équitation raffinée mais les quelques pages qu’il a consacré aux chevaux de guerre et aux chevaux de chasse contiennent plus d’un précepte qui n’a pas vieilli. Son œuvre est donc restée. » IFCE