L’ouvrage est entièrement numérisé et disponible sur le site :
|
|||||||||||
Journal de Dressage / FILLIS James, 1903 | |||||||||||
Journal de Dressage, par James Fillis, Écuyer en chef à l’École centrale de Cavalerie
à Saint-Pétersbourg.
/
FILLIS James
|
|||||||||||
|
|||||||||||
Français |
[…] Fillis, élève de
Caron
, qui l’était lui-même de
Baucher
, s’inspire beaucoup, dans sa méthode, de celle de ce dernier maître qu’il proclame
« le plus grand et le plus habile écuyer que nous ayons eu, si l’on ne considère que
l’équitation de haute-école ». Il s’en sépare cependant sur quelques points, parmi
lesquels la technique des flexions, l’appui et la mise en main. De plus, ses ouvrages
traitent autant de l’équitation d’extérieur que de celle de manège, à peu près seule
enseignée par Baucher.
C’est surtout comme dresseur que la réputation de Fillis s’est affirmée et, à ce point
de vue, on lira toujours avec intérêt son
Journal de Dressage
; mais on ne s’étonnera pas beaucoup des difficultés qu’il a rencontrées en examinant
attentivement la photographie de ses chevaux. »
Mennessier de La Lance (1915-1921)
: École de cavalerie , flexion , journal , progression , rétivité